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MANAGEMENT et EFFICACITE
Le mal être et la souffrance au travail font des dégâts au plan humain et au plan économique. On évoque fréquemment le burn out qui engendre baisse d’énergie, usure émotionnelle, rupture du lien social et familial et également, depuis quelques temps, le bore out suite à la mise en retrait d’un salarié, de la part de sa hiérarchie, des activités importantes de l’entreprise, en bon français on parle de mise au placard, enfin plus couramment n’oublions pas le burn in qui se caractérise par un surinvestissement au travail qui peut impacter les relations familiales et sociales.
Les conséquences pour les salariés peuvent être à la fois physiques et émotionnelles, et se caractérisent par des accidents de santé, un sentiment d’échec et de perte de confiance en soi. Du coup, ce mal-être entraîne des conséquences importantes pour l’employeur : une augmentation des coûts et un impact négatif sur les équipes.
La prévention demeure le moyen le plus efficace de réduire ces risques à défaut de les éradiquer complétement. Les managers sur lesquels repose en grande partie la responsabilité du bon fonctionnement au quotidien ne peuvent pas intuitivement mener ces actions préventives, encore faut-il qu’ils soient sensibilisés et formés.
Les facteurs provoquant de réelles souffrances au travail sont multiples mais c’est surtout l’absence de reconnaissance du travail et le manque de sens qui génèrent le plus de difficultés.
Les équipes et les managers ont besoin de repères et de clarté, ils doivent connaître leurs rôles et leurs cadres : la bienveillance, qui n’est pas incompatible avec la fermeté et la performance, peut, si elle est pratiquée, naturellement, quotidiennement contribuer à créer ce confort auquel la majorité des salariés aspire.
Tout cela ne nécessite pas une totale réorganisation des structures, toutes les entreprises sont capables d’établir un diagnostic mais on hésite souvent sur les solutions. Une écoute du management intermédiaire, des formations ciblées et un accompagnement régulier des équipes peuvent suffire : la solution n’est pas obligatoirement d’une totale originalité, le seul critère qui vaille sera son efficacité.
Les conséquences pour les salariés peuvent être à la fois physiques et émotionnelles, et se caractérisent par des accidents de santé, un sentiment d’échec et de perte de confiance en soi. Du coup, ce mal-être entraîne des conséquences importantes pour l’employeur : une augmentation des coûts et un impact négatif sur les équipes.
La prévention demeure le moyen le plus efficace de réduire ces risques à défaut de les éradiquer complétement. Les managers sur lesquels repose en grande partie la responsabilité du bon fonctionnement au quotidien ne peuvent pas intuitivement mener ces actions préventives, encore faut-il qu’ils soient sensibilisés et formés.
Les facteurs provoquant de réelles souffrances au travail sont multiples mais c’est surtout l’absence de reconnaissance du travail et le manque de sens qui génèrent le plus de difficultés.
Les équipes et les managers ont besoin de repères et de clarté, ils doivent connaître leurs rôles et leurs cadres : la bienveillance, qui n’est pas incompatible avec la fermeté et la performance, peut, si elle est pratiquée, naturellement, quotidiennement contribuer à créer ce confort auquel la majorité des salariés aspire.
Tout cela ne nécessite pas une totale réorganisation des structures, toutes les entreprises sont capables d’établir un diagnostic mais on hésite souvent sur les solutions. Une écoute du management intermédiaire, des formations ciblées et un accompagnement régulier des équipes peuvent suffire : la solution n’est pas obligatoirement d’une totale originalité, le seul critère qui vaille sera son efficacité.